Proposée par le foyer rural Maisnières-Tilloy
Commémoration des 100 ans de la 1ère Guerre mondiale
Soirée Hommage – 10 Novembre à 20h30 – A la salle des fêtes de Tilloy-Floriville
ENTREE GRATUITE
Présentation et lecture de textes tirés du « Hurl’obus » par JL Vigneux
- « Hurl’obus » est le seul journal de tranchée comportant des textes en picard.
- Projection d’un film tourné par Jocelyn Berquez en 2016
- Soirée hommage : « (Sur) vivre et mourir au front en 14-18 »
Infos : http://frmt.fr/
Description :
Lecture de textes en picard tirés du journal de tranchée « Hurl’obus », par Jean-Luc Vigneux.
Dans la continuité de la commémoration de la première guerre mondiale, le Foyer rural intercommnual de Maisnières et Tilloy-Floriville, propose cette soirée pour rendre hommage aux soldats de Maisnières et Tilloy, morts en 14-18. Jean-Luc Vigneux lira des textes en picard, tirés du journal de tranchée « Hurl’obus ».
Dans la continuité de la commémoration de la première guerre mondiale, le Foyer rural intercommnual de Maisnières et Tilloy-Floriville, propose cette soirée pour rendre hommage aux soldats de Maisnières et Tilloy, morts en 14-18. Jean-Luc Vigneux lira des textes en picard, tirés du journal de tranchée « Hurl’obus ».
Ce livre reprend des extraits en picard d’un des rares, voir unique, journal de tranchées en langue régionale « Hurle obus ».
La découverte de cette production a été faite par Pierre Guilgot de l’Agence régionale pour la langue Picarde, qui avait récupéré un numero de ce journal d’un ami qui l’avait trouvé dans u…ne réderie. La plupart des textes imprimés dans ces journaux sont de Georges Billoré qui est né en 1872, à Quevauvillers. Ce Samarien a fait son service au 501e Régiment d’infanterie de Beauvais, en 1893 avant de se marier, en 1899. I
La découverte de cette production a été faite par Pierre Guilgot de l’Agence régionale pour la langue Picarde, qui avait récupéré un numero de ce journal d’un ami qui l’avait trouvé dans u…ne réderie. La plupart des textes imprimés dans ces journaux sont de Georges Billoré qui est né en 1872, à Quevauvillers. Ce Samarien a fait son service au 501e Régiment d’infanterie de Beauvais, en 1893 avant de se marier, en 1899. I
l fut instituteur à Rouvroy-en-Santerre, avant la guerre puis à Cartigny, Marquivillers et Belleuse. Il mourra en 1949, à Amiens. Les journaux de tranchées demeurent une littérature originale.
Préface de l’ouvrage :
À l’heure des commémorations du centenaire du premier conflit mondial, l’Agence régionale de la langue picarde a ainsi souhaité apporter un regard spécifique sur l’un de ses journaux. Un travail d’équipe et de recherche a permis d’enrichir la présente édition d’informations essentielles à la compréhension des textes et du contexte de leur production. Georges Billoré y est à l’honneur, comme il se doit. Un siècle s’est précisément écoulé depuis que cet instituteur, devenu soldat pendant 34 mois, apportait sa contribution à ce qui demeure, à notre connaissance, le seul journal de tranchées portant des textes en langue picarde dans ses colonnes : Hurl’ obus.
